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Le président américain Donald Trump a lancé mardi un ultimatum au mouvement islamiste palestinien Hamas, lui donnant "trois ou quatre jours" pour répondre à son plan pour la fin de la guerre dans la bande de Gaza, soutenu par Israël.
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Dans le même temps, l'armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza, assiégée et affamée, où selon la Défense civile locale 41 Palestiniens ont été tués dont 15 à Gaza-ville. L'armée a affirmé viser des "cibles terroristes".
"Nous allons donner environ trois ou quatre jours (...) Tous les pays arabes sont d'accord, les pays musulmans sont d'accord, Israël est d'accord. Nous n'attendons que le Hamas. Et le Hamas acceptera ou n'acceptera pas. Et s'il n'accepte pas, cela se finira de manière très triste", a dit M. Trump.
"Il nous manque une signature, et elle expiera en enfer s'ils (le Hamas) ne signent pas. J'espère qu'ils vont signer pour leur propre bien (...)", a-t-il ensuite averti.
Le Hamas a commencé mardi à examiner le plan, après que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a assuré lundi le "soutenir" à la suite d'une rencontre à Washington avec le président américain. M. Netanyahu a dit qu'Israël se réservait le droit de "terminer le travail" par les armes si le Hamas bloquait ou rejetait le plan.
- "Consultations de plusieurs jours" -
Et dans une vidéo publiée mardi, M. Netanyahu a semblé revenir sur l'une des principales dispositions du plan, en affirmant que l'armée israélienne resterait "dans la majeure partie de la bande de Gaza".
Le plan américain en 20 points prévoit notamment un cessez-le-feu, la libération dans les 72 heures des otages retenus par le Hamas, le désarmement du mouvement palestinien, le retrait par étapes de l'armée israélienne et l'installation d'une autorité de transition dont le Hamas serait exclu et qui serait placée sous la supervision d'un "comité de la paix" présidé par M. Trump.
Une source palestinienne proche du Hamas a affirmé que le mouvement, arrivé au pouvoir à Gaza en 2007, avait commencé "une série de consultations" autour du plan, qui pourraient "durer plusieurs jours".
Jusque-là, le Hamas se disait prêt à libérer tous les otages dans le cadre d'un accord global mettant fin à la guerre, qui verrait notamment un retrait total des troupes israéliennes de la bande de Gaza. Il réclamait aussi des garanties pour une fin durable de la guerre.
- "Echec retentissant" -
Isolé à l'international, confronté dans son pays aux manifestations réclamant le retour des otages, Benjamin Netanyahu est aussi sous forte pression de ses alliés d'extrême droite, opposés à un accord qui mettrait fin à la guerre.
L'un de ces ministres, Bezalel Smotrich, a qualifié le plan Trump d'"échec diplomatique retentissant".
Selon ce plan soutenu par de nombreux pays, une fois les otages libérés, Israël relâcherait 1.700 Gazaouis faits prisonniers après l'attaque du 7-Octobre ainsi que 250 autres Palestiniens condamnés à la prison à perpétuité.
Une "Force internationale de stabilisation" devrait être déployée à Gaza à mesure que l'armée israélienne s'en retirera, selon le plan. Mais celle-ci maintiendra une présence "dans un périmètre de sécurité qui restera jusqu'à ce que la bande de Gaza soit sécurisée contre toute résurgence de menace terroriste". "Personne ne sera forcé de quitter Gaza", d'après la proposition.
Dans la bande de Gaza, où la quasi-totalité de la population a été déplacée par les combats et où l'ONU a déclaré la famine, le plan a été accueilli avec scepticisme.
En Israël, le Forum des familles d'otages a salué "un accord historique", mais des proches d'otages ont exprimé leur méfiance.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque, 47 sont toujours retenues à Gaza, dont 25 sont mortes selon l'armée israélienne.
L'offensive israélienne de représailles fait 66.097 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugés fiables par l'ONU.