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Donald Trump s'est dit jeudi toujours prêt à rencontrer Vladimir Poutine même si ce dernier refuse de voir Volodymyr Zelensky, qui insiste pour être à la table des discussions visant à trouver une issue au conflit en Ukraine.
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Interrogé sur le fait de savoir si l'ultimatum qu'il a donné à son homologue russe pour trouver un accord avec Kiev sous peine de sanctions sévères était toujours fixé à vendredi, le président américain est resté vague.
"Cela va dépendre de (Poutine), on va voir ce qu'il va dire", a-t-il simplement dit dans le Bureau ovale.
"Très déçu", a-t-il enchaîné, semblant parler de son homologue russe.
Sur la question de savoir s'il pensait que M. Poutine devait d'abord s'entretenir avec le président ukrainien avant de le rencontrer lui, le milliardaire républicain a été beaucoup plus explicite. "Non", a-t-il répondu.
Les deux dirigeants "aimeraient me rencontrer, et je ferai tout ce que je peux pour arrêter la tuerie", a-t-il ajouté.
Quelques heures auparavant, le Kremlin avait annoncé un "accord de principe" pour une rencontre entre MM. Poutine et Trump "dans les prochains jours", tout en écartant dans l'immédiat un sommet à trois avec M. Zelensky.
Le président russe a estimé jeudi que les "conditions" n'étaient pas réunies pour un tête-à-tête avec le chef de l'Etat ukrainien. Pour Moscou, un tel scénario n'a de sens qu'en phase finale des négociations de paix.
Mais selon Volodymyr Zelensky, "il est légitime que l'Ukraine participe aux négociations. (...) Le format des réunions, des rencontres des dirigeants, est donc, en particulier, un format tripartite."
- "Accord de principe" -
Donald Trump avait déjà évoqué mercredi une possible réunion "très bientôt" avec le chef de l'Etat russe, ce qui constituerait une première depuis son retour à la Maison Blanche en janvier. Leur dernière entrevue a eu lieu en 2019 en marge d'un sommet du G20 au Japon.
Le président américain avait repris contact avec M. Poutine après son retour à la Maison Blanche, dans l'espoir de mettre rapidement fin à la guerre déclenchée en 2022 par l'invasion russe de l'Ukraine, mais il s'est montré de plus en plus frustré envers lui ces dernières semaines, lui lançant un ultimatum.
Selon le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov, "un accord de principe a été conclu pour organiser un sommet bilatéral dans les prochains jours, sur la suggestion de la partie américaine".
Selon lui, cette rencontre pourrait se dérouler "la semaine prochaine".
M. Poutine, aux côtés de son homologue émirati, Mohammed ben Zayed, qu'il recevait jeudi au Kremlin, a affirmé que les Emirats arabes unis étaient l'un des endroits envisagés pour l'accueillir.
Un responsable américain à la Maison Blanche, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, a affirmé que le lieu de la réunion n'était pas encore décidé, mais que celle-ci pourrait intervenir la semaine prochaine.
Le chef de l'Etat ukrainien s'était ensuite entretenu, mercredi soir, au téléphone avec Donald Trump, une conversation à laquelle avaient pris part plusieurs dirigeants européens.
M. Zelensky a demandé que les Européens soient inclus dans les négociations de paix sur l'Ukraine, desquelles ils ont jusqu'à présent été tenus à l'écart malgré les tentatives de Paris, Berlin et Londres d'influer sur elles.
- Menace de sanctions -
Agacé par le blocage des pourparlers entre Moscou et Kiev, Donald Trump a donné à la Russie jusqu'à vendredi pour cesser les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions.
Les pays qui commercent avec la Russie sont notamment visés, comme l'Inde et la Chine.
M. Trump a déjà annoncé porter à 50% au lieu de 25% les droits de douane sur les importations en provenance d'Inde, en raison des achats indiens de pétrole russe.
Vladimir Poutine a, à cet égard, reçu jeudi le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien Narendra Modi, Ajit Doval.
Pour l'heure, rien n'indique que la Russie est revenue sur ses conditions pour mettre fin à son assaut en Ukraine.
Elle réclame que ce pays lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.