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Le pape Léon XIV doit renouveler jeudi ses appels à la paix en prononçant depuis la basilique Saint-Pierre sa première bénédiction de Noël, au terme d'une année assombrie par les conflits et polarisations politiques, mais marquée par des espoirs de paix à Gaza.
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L'année 2025 se termine avec des sources d'espérance pour la communauté chrétienne qui a célébré son premier Noël festif à Bethléem, en Cisjordanie occupée, depuis le début de la guerre à Gaza.
Mais l'appel du souverain pontife à une trêve d'un jour dans le monde n'a pas été entendu en Ukraine, où la guerre fait rage depuis près de quatre ans, au moment où il s'apprête à prononcer, à 12H00 (11H00 GMT) sa bénédiction "Urbi et Orbi" (à la ville et au monde).
Avant cette intervention très attendue, qui coïncide avec la clôture du Jubilé, "Année sainte" de l'Eglise qui a attiré des millions de pèlerins à Rome, le premier pape américain, élu en avril, a célébré mercredi soir sa première messe de Noël.
Lors de cette cérémonie commémorant la naissance du Christ, il a délivré un message de "charité et d'espérance" face aux dérives d'une "économie faussée", après être sorti sur le parvis de la place Saint-Pierre pour saluer les quelque 5.000 fidèles massés sous la pluie.
Changement majeur opéré par Léon XIV: il présidera jeudi matin la messe du jour de Noël, renouant ainsi avec une tradition qui remontait au pontificat de Jean-Paul II (1978-2005).
- "Joie" -
A des milliers de kilomètres de là, la trêve dans la guerre à Gaza, bien que fragile, a permis le retour des célébrations festives à Bethléem, berceau du christianisme.
Des centaines de fidèles se sont massés à l'approche de minuit dans la basilique de la Nativité, comble au point qu'ils étaient nombreux à être assis à même le sol.
Les célébrations de Noël de ces deux dernières années y avaient été ternies par la guerre dévastatrice à Gaza déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023.
Par solidarité avec les Palestiniens du territoire, les festivités avaient été annulées mais cette année, avec la trêve entrée en vigueur à Gaza en octobre, l'immense sapin de Noël s'est de nouveau illuminé devant la basilique de la Nativité, construite sur la grotte où la tradition chrétienne situe la naissance du Christ.
"C'est une journée pleine de joie, parce qu'avant on ne pouvait pas célébrer à cause de la guerre", a dit à l'AFP Milagros Anstas, 17 ans, dans son uniforme bleu et jaune.
- "Pouvoir de l'amour" -
Comme ailleurs dans la région et au Moyen-Orient, les chrétiens représentent une minorité en Terre sainte, avec une communauté de 185.000 personnes en Israël et 47.000 dans les Territoires palestiniens.
La municipalité a toutefois tenu à tempérer le faste des célébrations. Car en dépit du cessez-le-feu, les Palestiniens de Gaza restent frappés par une grave crise humanitaire.
Lors de la messe, le patriarche latin de Jérusalem, le cardinal Pierbattista Pizzaballa a délivré lors de la messe une homélie pour la paix, l'espoir et le renouveau, face aux décisions politiques et équilibres de pouvoirs qui "semblent souvent déterminer le destin des peuples".
"Noël, cependant, nous invite à regarder au-delà de la logique de la domination, à redécouvrir le pouvoir de l'amour, de la solidarité et de la justice", a dit le cardinal, qui avait célébré une messe à Gaza dimanche.
- Politique et intempéries -
Tranchant avec les discours des dirigeants religieux, Donald Trump a souhaité un joyeux Noël "à tous, y compris aux pourritures de gauche radicale", en référence à ses opposants démocrates.
Mais au-delà du climat politique électrique aux Etats-Unis depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, ce sont des intempéries majeures qui viennent perturber les fêtes de fin d'année en Californie.
Craignant de dangereuses inondations, les autorités ont décrété l'état d'urgence à Los Angeles et ordonné l'évacuation de centaines de foyers.
En Australie, la fin d'année est assombrie par l'attentat antisémite de Bondi qui a fait 15 morts le 14 décembre.
Dans le sud-ouest de la France, des agriculteurs mobilisés contre la grave crise frappant leur secteur ont préféré passer le réveillon en bloquant une autoroute, où des habitants leur ont apporté huîtres et bûches, plutôt qu'en famille.
Ils se disent prêts à faire de même pour le Nouvel an, comme l'a assuré l'un d'eux, Frédéric Meynard: "On ne l'espère pas, mais s'il faut en arriver là on le fera".